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NOTRE DAME BRÛLE, VS, LA PLANÈTE BRÛLE.
N’êtes-vous pas ne serait-ce qu’un peu choqué par le déferlement de fric et l’empressement affiché pour la reconstruction de Notre Dame de Paris ?
Alors d’accord, on peut me dire que ce n’est pas comparable, que les niveaux d’émotions sont différents, que le symbole n’est pas le même, mais quand même, n’êtes-vous pas ne serait-ce qu’un peu choqué par le déferlement de fric et l’empressement affiché pour la reconstruction de Notre Dame de Paris ?
– La terre brûle à cause du réchauffement de la planète… les peu d’engagements ne sont pas respectés.
– Des gens partout dans le monde, des enfants, leurs mères, crèvent de faim… l’indifférence est totale.
– Les océans sont en train d’étouffer, les insectes de disparaître, les espèces de s’effacer de la surface de notre planète… et aucun empressement n’est constaté.
– Des gens tombent malades à cause des produits chimiques utilisés dans l’agriculture… et là encore on privilégie de laisser brûler, plutôt de d’éteindre le feu et de reconstruire.
Des exemples comme ceux-là, je pourrais en faire une liste non-exhaustive, tellement le « je-m’en-foutisme » général pour ce qui n’est pas « émotionnellement » aussi tragique que l’incendie de Notre Dame, n’a d’impact sur les responsables politiques et économiques, pouvant y rajouter les grosses fortunes internationales.
L’absurde aux commandes du monde.
En comparaison, dans l’absurde, personne ne s’imaginerait une réalité où ce seraient ces mêmes responsables qui mettraient eux même le feu aux plus grands monuments du monde, dynamitant les pyramides d’Égypte, la Tour Eiffel ou encore le Mont-Saint-Michel, la Maison Blanche, le Machu Picchu, et tant qu’on y est atomisant Jérusalem… le tout dans l’indifférence générale des médias et de l’opinion publique. C’est pourtant ce qui se passe dans la réalité, ces gens, par leurs actions et inactions, brûlant le monde, sa faune, sa flore, son humanité, ses monuments.
Qu’on soit clair, c’est très bien de reconstruire ce qui s’avère être une merveille architecturale, je suis le premier à soutenir les initiatives allant dans ce sens, mais ce qui choque, c’est la dichotomie des volontés, des priorités et des remèdes.
Si les Pineau et autre Arnault et Bettencourt, avez autant de compassion pour leurs semblables, si les banques avaient autant de mansuétude pour leurs résultats que pour leurs clients, si les gouvernements étaient aussi prompts à répondre aux urgences du monde, et si les médias avaient autant d’intérêt à crier à notre humanité le feu qui ravage nos terres, que celui qui brûle un édifice religieux… Alors je ne serais certainement pas aussi choqué par le déferlement de fric pour un monument, aussi beau soit-il, dont l’urgence de reconstruction est infiniment moins grave et pressant, que le péril qui atteint notre planète et ses milliards de vies.
… et je ne suis pas le seul.
Gilles Ragnaud
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C’est la faute à Macron !
– Dès février 2018 je parlais de viol de la nation par la politique ultralibérale de Mr Macron.
– Je prévenais des risques de soulèvements contre les inégalités et les injustices sociales.
– Le 1er décembre, je publiais un article « HUMANISME » énonçant ce qu’il fallait faire.
La suite nous la connaissons :
– Samedi après samedi les GJ retournent dans les rues, et ils ont raison.
– Des casseurs, des black-blocs s’en mêlent… la confusion dans l’opinion.
– Les deux leaders extrêmes en profitent pour exacerber les haines et pousser à la révolution.
Mais macron, ne fait rien dans le bons sens !
– Il fait même le contraire de ce qu’il faudrait, s’y prenant à l’envers, manquant de pédagogie.
– Il fait acte d’égocentrisme et tente sans cesse de se justifier, de justifier sa politique.
– Il parie sur un essoufflement du mouvement, même s’il doit tenir jusqu’à l’été.
Mais au bout du compte, il n’y a rien.
– Nous n’avons pas plus de pouvoir d’achat.
– Nous n’avons pas plus d’investissement d’État.
– Nous n’avons pas plus d’interventions face aux obscurantismes.
– Nous n’avons pas plus de solidarité pour notre santé.
– Nous n’avons pas plus d’équité sociale, nous en avons moins.
– Les plus riches ne paient pas plus.
– Nous avons toujours plus de taxes et d’impôts.
– L’éducation et la scolarité, deviennent du disciplinaire.
– Nous n’avons pas plus de protection salariale.
– Nous n’avons pas plus d’éthique politique.
– Nous n’avons pas plus d’engagements pour la planète.
– Nous n’avons pas plus de concret pour les sans-abris.
– Et nos libertés individuelles et collectives, s’amenuisent.
Je ne sais pas ce qui motive Monsieur Macron à rester dans sa logique néolibérale, ses financiers, les lobbies… ? Toujours est-il que s’il continue ainsi, les choses iront de mal en pis !
– Il faut remettre l’ISF ou un équivalent.
– Il faut réétatiser, recapitaliser la France avec des entreprises d’état.
– Il faut donner du pouvoir d’achat aux Français.
– Il faut une vraie augmentation des salaires, en général.
– Il faut de l’ascenseur social.
– Il faut de l’espoir de réussite, d’avenir pour notre jeunesse.
– Il faut anticiper l’avenir, sa robotisation, et ses conséquences.
– Il faut faire baisser les tarifs des énergies, des loyers, des logements.
– Il faut donner les moyens aux français de capitaliser, d’investir pour eux et les leurs.
… et tout cela n’est qu’un minimum, ça s’appelle l’Équitabilisme, l’humanisme politique social et économique, dans le respect des natures humaines et environnementales.
Gilles Ragnaud
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Promouvoir la notion d’universalisme des droits humains
Je soutiens, et suis signataire, de l’initiative pour « la promotion de la notion d’universalisme des droits humains », lancée par la physicienne et féministe française Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes.
Sa lettre :
Aidez-nous à respecter l’universalisme des droits fondamentaux !
Promouvoir la notion d’universalisme des droits humains est l’un de nos combats prioritaires. L’organisation par Paris des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 constitue une occasion unique de défendre les « valeurs universelles fondamentales » telles qu’inscrites dans la CHARTE OLYMPIQUE, incluant une forme exigeante de laïcité (la règle 50). Il n’est pas trop tôt pour agir, car dès cette année, le Ministère de l’Education Nationale, en liaison avec les Organisateurs des Jeux, lance des programmes en direction de la « Génération 2024 ».
Soutenez l’INTERPELLATION du Comité d’Organisation des Jeux pour un strict respect de la Charte Olympique, et pour que les contrevenants soient sanctionnés.Envoyez votre réponseà :appliquerlacharteolympique@gmail.com. L’objectif est d’obtenir 2024 signatures. Dites-nous comment vous souhaitez que votre nom apparaisse dans la liste des signataires.
La BROCHURE intitulée « Revenir à l’esprit Olympique ! » explicite nos arguments et énumère les associations en soutien. Dites-nous si vous souhaitez que votre association apparaisse dans cette liste.
Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes, association créée par Simone de Beauvoir.
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PETITE EXPLICATION POUR CEUX QUI CONFONDENT, (encore), CAPITALISME ET LIBÉRALISME.
Beaucoup de personnes confondent communément le capitalisme et le libéralisme, mettant à tort ces deux courants de pensées politiques dans le même panier. Les différences sont pourtant énormes, à tel point que le libéralisme a un objectif « anticapitaliste », puisqu’en détruisant les bases.
Petites explications simples.
L’un, le CAPITALISME, qu’il concerne un État ou une entreprise, redistribue l’argent dans l’économie nationale, c’est ce que l’on appelle un mécanisme coopératif.
L’autre, le LIBÉRALISME, ne participe pas au développement économique, ne redistribuant pas l’argent, les bénéfices étant gardés par la personne, ou le groupe de personnes.
Des exemples :
Une entreprise capitaliste, va redistribuer tout ou partie de ses bénéfices, dans les salaires de ses employés, ou sous forme de primes, de services, de nouveaux emplois, etc.
Une entreprise libérale, va, elle, redistribuer tout ou partie de ses bénéfices, avant tout à ses actionnaires, dirigeants, cadres dirigeants, et pas ou peu aux salariés.
De même, un État développant une politique capitaliste, va accroitre ses services publics, voire les rendre gratuits. Il va investir dans les savoirs et savoir-faire des entreprises de la nation, garantissant ainsi des revenus annuels capables de pourvoir aux besoins de financement de ses services publics, hôpitaux, crèches, écoles, maisons de retraite, infrastructures, espaces publics, sans compter les services de sureté de la nation, gendarmerie, police, sécurité civile, etc.
Un État développant une politique libérale va ,lui, privatiser ses services publics, avec tout ce que ça représente en termes de restructuration, de pertes d’emploi, de décentralisation, etc. Au final, ces services publics deviennent payants, voire disparaissent totalement, exemple en France les bureaux de poste, hôpitaux, gendarmeries, postes de police, écoles et autres administrations de proximité. De plus un État libéral va vendre tout ou partie des entreprises d’État à des investisseurs privés, se dépossédant de revenus annuels substantiels, ne garantissant plus le financement des services publics.
Cette logique libérale, détruit littéralement le concept de capitalisme d’État, rendant à chaque privatisation, la nation plus pauvre, l’État pour pallier ces appauvrissements créant inexorablement de nouvelles taxes et impôts… CSG, CRDS, etc…
Le capitalisme d’État, sert aussi à garantir un niveau de vie minimum à la totalité des citoyens, versant des prestations publiques : allocations familiales, retraite, logement, RSI, etc.… autant de choses que la logique libérale, partant du principe que chacun doit être à même de se débrouiller, voudrait se débarrasser.
Des limites à ne pas franchir.
Le capitalisme, comme vous avez pu le lire, est une notion bienveillante, et, dans le cadre de cette bienveillance, ce courant de pensées a l’obligation de garantir les libertés individuelles et collectives, autant pour les entreprises, que pour les particuliers. Cette garantie, fait que l’État doit savoir se modérer dans ses investissements pour la communauté, devant la maintenir aux seuls besoins de financement des services publics, ne devant pas s’enrichir à la place des citoyens. Le risque est un déséquilibre politique, social et économique, n’étant plus du capitalisme, mais une forme de communisme, avec tout ce que ça représente de manquement en termes de libertés individuelles et collectives.
De même, et vous avez pu le comprendre, pas assez d’investissements d’État mène inexorablement à des inégalités sociales et économiques, avec tout ce que ça représente en termes de prédations et de malveillances, autant pour les entreprises, que pour les particuliers, seuls les plus puissants y gagnant, toute forme d’égalité des chances devenant obsolète, c’est l’idée de la doctrine libérale et de ces branches ultra et néo.
La conclusion, est qu’une politique capitaliste doit être équilibrée, (l’aequus Libra) c’est à dire respecter les libertés individuelles et collectives, œuvrant par exemple à encourager à la capitalisation privée quel qu’en soit le sens, garantissant de nouveaux pôles d’investissements, redistribuant l’argent dans le marché économique national. Dans le même sens, un État développant une politique capitaliste, s’il le fait dans le bon sens, doit avoir la capacité d’apporter encore plus que des services publics, étant capable d’œuvrer à une politique humaniste, l’Équitabilisme en étant un exemple.
Voilà, maintenant, vous ne ferez plus l’amalgame entre capitalisme et libéralisme.
GR.
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Comment fabriquer de la poudre de perlimpinpin.
(A lire avec beaucoup d’humour… )
Recette en 4 temps !
Dans un premier temps, prenez des manifestants en Gilets Jaunes, faites leurs croire que de revendiquer un référendum d’initiative citoyenne (RIC), va rééquilibrer la démocratie. Logiquement vous obtiendrez une » marmelade » de pauvres gens, qui après avoir été désabusés par la vie politique, sont à présent abusés par une théorie trompeuse.
Dans un deuxième temps, prenez un palais de l’Élysée, préalablement fourni d’un président narcissique aidé par un premier ministre égocentrique, versez-y la marmelade, et vous obtiendrez, après maintes tergiversations, un « Grand Débat National ».
Dans un troisième temps, rajoutez-y une bonne dose de démagogie, de mauvaise foi, de mensonges, et d’appétence du pouvoir, le tout pioché dans un panachage de personnalités et prédateurs politiques, et vous obtiendrez de l’extrait de perlimpinpin.
Dans un quatrième et dernier temps, rajoutez un pouvoir s’accrochant coute que coute à son fauteuil, ainsi qu’une bonne dose de violence policière et d’ultras de gauche et de droite, passez le tout au mixeur, laissez bien sécher… voire dessécher.
Mettez le tout aux fours médiatique, et vous obtiendrez le sésame tant recherché, la poudre de perlimpinpin.
Retrouvez cette recette parmi tant d’autre sur www.elysee.fr ainsi que sur www.parlement.fr.
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Gilets Jaunes… Quelles déceptions.
Nous, nous étions Gilets Jaunes, sans haine ni violence, voulant agir avec intelligence, soutenant des revendications sociales, politiques et économiques, capables de donner à tous un avenir. Nous attendions des représentants éclairés, non engagés politiquement, des personnes avec du sens civique, capables avec intelligence et savoir-faire, de défendre fermement nos vies, celles de nos enfants, de nos anciens, celles d’une démocratie ouverte à toutes et tous, rendant à chacun la dignité à laquelle il a droit, durant la totalité de son existence.
Puis ça a tourné en violences et incultures, en politique de comptoir, en revendications tous azimuts et la plupart du temps totalement débiles. Récupérations politiques des extrêmes, théories politico-démocratiques faisant dans le fastoche, du simple, du très simple, écrit pour des faibles et des pauvres d’esprit. A cela rajoutez les désinformations, les accusations fusant de tous côtés, et vous avez le raté total d’une levée populaire pourtant amplement légitime.
Car oui, nous crevons de faim !
Tout cela ne représente pas, ou plus, une bonne partie des Français.
Nous aurions pu réussir tout cela, mais cet avenir, ce futur-là fait déjà partie du passé, dégradé par l’effet de groupe, l’ignorance et l’avidité de pouvoir de certains et certaines. Pour beaucoup c’est un crève-cœur, les politiques nous le savons, restant ce qu’elles ont toujours été, nos infortunes aussi, tout autant que nos libertés, ou du moins ce qu’il en reste… rien ne changera, ou très peu, nous avons raté… une fois de plus.
GR
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Le « RIC », ce « truc » censé donner plus de démocratie.
Le « RIC », ce « truc » censé donner plus de démocratie, n’est qu’un foutage de gueule, pour preuve le gouvernement s’en empare !
De ces référendums demandant l’avis des citoyens, je m’en souviens de plusieurs, dont je vais ici vous en rafraichir la mémoire.
Le 29 mai 2005
Les Français doivent à leur tour, se prononcer sur le traité établissant une constitution pour l’Europe, 54.67 % votent contre… la suite, nous la connaissons tous.
Le 26 juin 2016
Les citoyens de la Loire Atlantique sont consultés sur le projet de transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes, 55.17 % d’entre eux y sont favorables… la suite nous la connaissons.
Le 23 juin 2016
Nos voisins du Royaume-Unis doivent se prononcer par référendum sur leur appartenance à l’Union européenne, 51.89 % votent pour une sortie de l’UE… la suite nous la connaissons, c’est loin, très loin d’être fini.
Je veux en venir au sens même de la démocratie telle qu’elle se pratique dans notre république, les responsables et décideurs politiques n’en faisant dans tous les cas, qu’à leur tête, selon ce qui les arrange, trouvant toujours un moyen de détourner les résultats.
Cela, au vu de l’abracadabrantesque BREXIT, prouve aussi que de demander aux citoyens leur avis, n’est pas une garantie de bonne décision, répondant avant tout à celui qui parle plus fort. Comme j’écrivais dernièrement, « entre celui qui parle bien mais qui n’a pas de solution, et celui qui a des solutions mais qui ne parle pas bien, la majorité choisira le premier. »
Au-delà de tout ça, s’y rajoutant, ce RIC n’est qu’un gagne petit, étant loin des demandes de démocratie faites par les Gilets Jaunes, n’étant qu’une mascarade prompt à faire taire la grogne populaire, en donnant des miettes, laissant croire à un semblant de démocratie.
Nous valons mieux que ça !
www.societe-equitable.info/democracitoyenne
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LES DÉCIDEURS POLITIQUES EN GÉNÉRAL, N’ONT RIEN COMPRIS AUX GILETS JAUNES… HÉLAS !
Emanuel Macron, lundi dernier, avec une extrême maladresse, a tenté de répondre aux maux criés dans les rues par les Gilets Jaunes, mais sans y parvenir.
Il y a deux raisons à cela, la première étant le brouhaha des revendications, plus ou moins réalistes, utopiques, antidémocratiques, voire totalement stupides, et c’est normal, on ne peut pas en vouloir aux gens de hurler leurs douleurs, ayant tellement de blessures qu’ils ne savent plus lesquelles crier en premier, ni même quels remèdes pourraient les soigner.
La deuxième raison, plus grave, est le manque d’intelligence des responsables politiques dans leur ensemble, leur incapacité à avoir su détecter à travers les maux des Gilets Jaunes, les véritables réponses à apporter. Et là aussi c’est normal, ces politicards, Macron en tête, étant incapables de se remettre en cause, de remettre en cause le système politique, social, économique et démocratique. Ces gens ne savent qu’appliquer ce qu’ils ont appris, ce ne sont pas des inventifs, des concepteurs et encore moins des innovateurs, étant tout juste bons à appliquer des règles, même si elles sont bêtes, antisociales ou plus simplement « inhumanistes ».
Et pourtant, les réponses qu’attendent les Gilets Jaunes, les Français en général, et même une grande partie des peuples du monde, sont simples, n’étant pas comme beaucoup semblent le croire d’ordre politique, mais concernent directement le fonctionnement de notre civilisation actuelle, celle d’un monde moderne en matière de technologie, mais médiévale en ce qui est lié à l’humanisme, les prédations politiques sociales et économiques n’étant plus acceptables, ni pour nous, humains, ni pour l’environnement.
C’est là-dessus, et exclusivement sur ce sujet que les politiques doivent réagir, apporter des réponses.
Si demain Emanuel Macron prend la parole pour nous dire :
« Chers concitoyens, nous avons décidé de tout mettre en œuvre pour que plus jamais personne n’ai de pouvoirs politiques, vous donnant à vous seuls moyen de présenter les projets pour la France. Nous avons décidé de tout mettre en œuvre pour que chacun sans exception soit assuré de toujours avoir de quoi vivre dignement, eau, nourriture, toit, santé, énergie. Nous avons décidé de ne plus jamais accepter que qui que ce soit puisse nuire politiquement, socialement, et économiquement aux autres, tout, à partir de maintenant allant être créé autour de ce qui est essentiel à la vie, quelles que soient ces vies. Nous avons décidé, avec vous, de changer notre modèle de civilisation. »
Oui, je sais, il y a peu de chance que cela arrive, car il y a peu de chance que les politiques aient l’intelligence de comprendre ceci, et encore moins l’envie de se grandir en le faisant.
Pourtant, il y a de plus en plus de monde prêt à une telle évolution, beaucoup de mes amis, comme moi œuvrant dans ce sens, beaucoup de gens à travers le monde espérant de tels engagements, une Société Équitable, libre, respectueuse, démocratique et enfin vivable, quel que soit le vivant.
Et tout cela ne tient qu’à nous, et exclusivement à nous.
Gilles Ragnaud
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GILETS JAUNES, NE LÂCHEZ RIEN !
Je viens sur RTL, d’écouter Jacline Mouraud, figure « emblématique » des Gilets Jaunes, et je me suis dit que cette femme devait réellement être extrêmement naïve.
Jacline Mouraud appelle les Gilets Jaunes à « quitter les ronds-points », elle appelle aussi à « ne plus manifester », s’imaginant que « l’organisation d’un collectif GJ », ainsi que les « assemblées citoyennes » promises par Macron, auront suffisamment d’aura pour obtenir des avancées significatives correspondant aux maux des Français.
Cette très chère dame, ne sait apparemment pas où elle est en train de mettre les pieds, allant devoir faire face à des gens dont le métier est la politique, avec tout ce que ça représente de filouteries, de prédations, de mensonges et j’en passe. Jamais cette pauvre dame, et son collectif, n’auront la carrure pour faire face à ces prédateurs, d’autant plus que les connaissances politiques, sociales et économiques de ces « gentils » Gilets Jaunes, sont pour ainsi dire, NULLES !
Faire face à ces gens tout en défendant les revendications des GJ, c’est tout simplement faire de la politique, et ici à un niveau où il faut absolument des connaissances pointues, que ni Madame Mouraud, ni même son équipe ne maîtrisent… On ne se découvre pas du jour au lendemain politicien.
Dans la réalité, s’il n’y a plus de manifs, s’il n’y a plus de GJ à tenir les ronds-points, à bloquer les raffineries ou autres ouvertures d’autoroutes, alors le mouvement est clairement fini, n’ayant servi qu’à l’obtention de quelques miettes. Au-delà de cela, ce ne sont pas nécessairement des avancées politiques que demandent les gilets jaunes dans leur ensemble, ce ne sont pas des 100 balles par-ci, ou des cent balles par-là, c’est bien plus que ça, le chahut, les cris, le désespoir de tous ces gens, appellent à une évolution bien plus grande, celle de notre civilisation.
Pour cela, il y a une chose à faire, une simple chose, basique… Se débarrasser des politiques libérales dans leur ensemble, délestant du même coup les haines et les rancœurs de bon nombre de nos semblables, et espérer, construire, édifier ensemble une société humaine, dans le respect des envies de devenir de chacun.
Nous en sommes là, alors, ne lâchez rien !
G.Ragnaud