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2017 et si on y allait ?

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L’idée fait son chemin auprès de nos militants, de nos sections et de nos fédérations, doucement, avec réflexion. Représenter les MDE pour les prochaines présidentielles parait évident pour un parti politique Français, et même si ça reste un challenge énorme, ça doit aussi et surtout être un engagement de tous dès à présent.

Vais-je être candidat ?
On me pose souvent la question, qui, pour l’instant n’est pas ma préoccupation première. Préparer une élection présidentielle c’est avant tout une organisation nationale de nos Mouvements, cela demande énormément d’argent sous formes de dons, ou encore en prenant sa carte aux MDE. C’est aussi aller à la rencontre des Français dans chacune de nos régions, montrer notre force, nos différences fondamentales et surtout l’espoir que nous MDE apportons. Nous sommes là pour changer notre société en profondeur, lui donner une âme de bienveillance envers tous, dans tous les cas, quitte, et c’est ce que que nous allons faire, à tout réinventer. Car nous en sommes là, par obligation pour nos générations futures, leur voulant un monde juste sachant leur garantir l’essentiel à la vie, chose que seuls les MDE, dans le paysage politique Français, sont capables aujourd’hui d’assurer.

Pour l’instant nous allons préparer le terrain pour 2017, réunir autour de nos Mouvements le plus possible de sympathisants et de militants, débattre de cette idée. Après, nous verrons quels seront nos engagements vis à vis de la France et vis à vis des Français.
Il est clair que notre volonté de redonner aux Régions de France leur indépendance culturelle, traditionnelle et économique, mais aussi politique séduit les Français, tout comme nous rassemblons autour des valeurs qui sont les nôtres en matière d’écologie. Nous avons un potentiel réel de rassemblement, nous le voyons d’ailleurs chaque jour par vos messages, vos partages, vos questions et vos soutiens à cette marche en avant à laquelle les MDE répondent avec sagesse et intelligence.

Je vous invite à nous rejoindre, adhérer aux Mouvements, pour qu’ensemble d’ici quelques mois, nous prenions la mesure de nos engagements présents et ceux de l’avenir de la France.
2017 sera vite venue, nous avons beaucoup de travail devant nous, alors commençons ensemble à travailler sur cette idée.

Gilles Ragnaud

Si la politique était vraiment une science, alors tout comme les technologies ou la santé elle évoluerait au service de l’humanité.

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A quoi sert la politique, ou du moins les systèmes que nous en connaissons, si ces mécaniques n’évoluent pas et ne font pas grandir le monde ? En quoi serait-ce une science si elle n’a pas la capacité à faire évoluer les civilisations dans leur ensemble, si elle n’est pas capable de grand chamboulement dus à des inventions nouvelles, remettant en cause et rejetant des pratiques dépassées ou incompatibles avec le respect des natures humaines ? Si la politique était vraiment une science, alors tout comme les technologies ou la santé, elle évoluerait au service de l’humanité, des Pasteur, newton, Hawking et autres Einstein de la politique balayant des pratiques passées pour des innovations sociales politiques et économiques nouvelles par leur bienveillance, révolutionnant nos civilisations.

Tout comme en médecine dont le fondement général est de soigner les gens, la politique se doit d’avoir un principe de base, une genèse autour de laquelle les chercheurs et recherches se doivent de trouver des solutions toujours plus évolutives. Cette notion de fondement général est ce qui motive les recherches, donnant une direction à prendre, les applications politiques sociales et économiques qui en ressortent devant la respecter au mieux, apportant des soins à nos sociétés, et mieux encore guérissant totalement nos civilisations.

La recherche de ce fondement général est le premier travail que j’ai fait, celui de comprendre cette genèse, ce lien général qui relit chaque être vivant dans de nos sociétés humaines. Il a fallu pour cela en comprendre ce qui nous est indispensable, mais aussi les manques qui font les maladies, les épidémies, les morts. Il a fallu en comprendre les différences mais aussi le commun, puis il a fallu en faire la synthèse en regroupant l’ensemble de ces recherches dans une formule générale donnant un fondement universel autour duquel chacun allait pouvoir travailler pour le bien de l’humanité. Il existe déjà certains fondements, proposant par exemple « la recherche du bonheur » comme étant un but à atteindre, n’en donnant bien sûr pas les moyens, occultant tout ce qui au-delà de cette recherche fait la vie, je parle de choses basiques comme manger, boire ou encore dormir, cette recherche du bonheur n’étant ici qu’un raisonnement hypocrite, un genre de nirvana hypothétique que peu, très peu atteindront après maintes péripéties.

Quel que soit le bonheur, ou pas, nous savons tous que sans l’essentiel nous ne pouvons vivre, la genèse commune alors parait claire, simple, n’étant rien d’autre qu’un constat d’évidences jamais dites ou écrites avant mon travail, jamais prises en compte dans les politiques, l’humanité au nom du pouvoir et de l’argent se faisant concurrence au point d’en ôter l’essence même de la vie des deux tiers de l’humanité, provoquant la mort et la destruction, le déséquilibre et l’injustice.
L’Essentiel, l’indispensable, l’obligatoire doit donc être le sens premier de cette genèse, une formule interhumaine, vis à vis de tous, en respect avec toutes les vies, tous les environnements quel que que soit l’endroit sur la planète, TOUT SANS EXCEPTION DOIT ÊTRE CRÉÉ AUTOUR DE CE QUI EST ESSENTIEL A LA VIE, alors et seulement alors, nous mènerions notre humanité vers une ère nouvelle, une ère où la compassion et la bienveillance seront le premier amendement de l’humanité.

La simplicité de cette genèse ne tient qu’au sens de la vie, étant elle-même au départ simple, ne demandant que des choses élémentaires, primitives, sans ornement de toutes sortes, manger et boire, trouver un abris, être en bonne santé, et utiliser de l’énergie, en bref ce que faisait déjà il y a des millénaires nos ancêtres dans les premières civilisations humaines. La politique ne pourra être une science tant qu’elle ne saura pas s’articuler autour d’une genèse, une base de travail dont le seul but est d’évoluer au service de l’humanité, pour tous sans exception, dans le sens de la vie, de ce qui lui est essentiel. Là et seulement là nous pouvons parler de sciences, des sciences nouvelles faites des génies de chacun, de sciences poétiques, de sciences de la bienveillance, de sciences de la compassion, donner à manger à boire, un toit, l’énergie et la santé à chacun étant le minimum vital, une assurance d’existence dont la seule condition particulière est d’être vivant. Tant qu’au reste, ce que j’appelle le piment de la vie, la raison d’exister, c’est à chacun de se le construire, de s’en donner les moyens selon ses propres envies et son courage, grandir étant et devant rester quelque chose d’intrinsèquement personnel.

Tant que la politique sera tiraillée par des principes d’intérêts et de pouvoirs, elle ne pourra être une science, évoluer via des nouvelles créations et découvertes, remettant en cause les pratiques passées pour des techniques nouvelles allant toujours dans l’intérêt de tous. Tout cela ne tient qu’à nous, qu’à nos choix dans le plébiscite de politiques, d’idées, d’envies et de sciences capables d’évolutions communes, le premier de ces choix devant être l’essence primaire de toute existence sur terre : TOUT SANS EXCEPTION DEVANT ÊTRE CRÉÉ AUTOUR DE CE QUI EST ESSENTIEL A LA VIE.

Gilles Ragnaud