Je reste toujours dubitatif devant les débats sur les OGM, ou ceux concernant les pesticides ou autres produits chimiques déversés dans nos champs. On sait pertinemment qu’ils sont nuisibles pour nous, nous laissant des séquelles graves, cancers et maladies auto-immunes, on sait qu’ils nuisent à nos natures, polluant nos terres, nos eaux, nos plantes, on sait aussi qu’ils sont destructeurs pour les faunes, tuant par exemple à la limite de l’extinction nos populations d’abeilles sans lesquelles rien ne sera plus jamais possible… et bien malgré tout l’Europe Libérale et ses gouvernements, acceptent et signent pour l’utilisation de tels poisons !!!
Il faut dire que ces gens n’ont pas les mêmes types de neurones que les nôtres, ne voyant pas l’empoisonnement, s’en sentant certainement protégés derrière je ne sais quel bouclier idéaliste, ne voyant que l’intérêt économique, celui des lobbies, l’intoxication et les génocides faits dans nos faunes et nos flores ne les touchant même pas. Ces gens ne voient qu’à court terme.

C’est justement parce que je ne vois pas les choses à court terme, que je les imagine différemment, ma seule motivation étant la qualité de vie, celle de mes enfants, des gens qui m’entourent, et tout simplement celle des gens du monde, de leurs environnements et de toutes leurs vies.

En développant comme je le préconise dans mon programme, l’Assurance d’Existence, je rends l’État responsable de ce qui arrive dans l‘assiette des Français, non pas pour que l’État ait un contrôle sur l’alimentation, mais pour qu’il permette des choix différents en matière de culture, d’élevage, de transformation, et même de distribution.
Pour moi, l’agriculteur est et reste le premier médecin, étant à la base de nos alimentations, par ses productions de produits sains, cultivés dans les règles de l’art, celles que nous ont légués nos anciens. L’agriculture est à la base de la santé, c’est donc dès cette base que le travail de reconstruction de nos natures et donc de nos alimentations doit commencer. La permaculture, agroécologie, agriculture bio, et autres formes d’élevage et d’agronomies sont des exemples de ce que nous pouvons mettre en place, excluant définitivement les OGM et autres poisons chimiques, ne permettant de proposer que du bon et du bio.

Cette manière de définir l’agricole doit permettre une autre manière de vivre, apportant une communication nouvelle donnant un sens pédagogique, permettant à chacun de définir ses propres choix de vie et d’alimentation pour lui et les siens, car le deuxième médecin n’est pour moi autre que nous-même, dans nos choix personnels en matière d’alimentation, dans la culture du bien fait, le temps que nous devons prendre pour nous alimenter correctement.

Pour moi, il n’y a pas deux poids deux mesures, la vie, les vies passent avant tout, et tout le monde y gagnera, sauf bien sûr les empoisonneurs et leurs lobbies.

Gilles Ragnaud

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