La France a toujours été une nation d’accueil, une terre d’asile pour le reste du monde, et il faut que cela continue ainsi, il en va de l’image de la France et des Français. Je suis pour l’accueil de tous, sans exception, mais attention, accueillir ne veux pas dire accepter l’inacceptable. Il nous faut donc d’entrée imposer une condition primordiale à toute personne voulant rejoindre nos terres ancestrales, celle du respect obligatoire de nos us coutumes, ainsi de nos langues et cultures régionales. Cela ne veut pas dire qu’une personne accueillie ne pourra plus se vouer à son culte, mais juste qu’elle ne pourra plus imposer sa culture dans nos pays de France, devant impérativement savoir se mettre, elle et sa famille, dans des conditions d’écoute et d’apprentissage de nos cultures. En cela les pays de France, les associations, les systèmes scolaires ainsi que toutes nos autres institutions administratives et culturelles ont un devoir d’aide absolue, une assistance que j’entends soutenir avec force. C’est ici une conception différente de l’accueil que doit avoir la France, mais aussi une responsabilité vis-à-vis de nos générations futures, celle de leurs laisser des terres ancestrales aux patrimoines forts, des terres dans lesquelles ils se reconnaitront, générations après générations, comme étant un attachement, un repère essentiel à l’équilibre de leurs communautés.

J’ai beau chercher, je ne vois pas dans le monde actuel un seul maux qui ne soit pas lié directement ou indirectement aux méfaits du libéralisme, un système tellement puissant qu’aujourd’hui ses représentants les plus actifs ne s’embarrassent plus de rien, se donnant tous les droits, laissant aux gouvernements le soin de se dépatouiller avec les conséquences de leurs méfaits. Ce libéralisme outrancier est tout simplement devenu une dictature menée par des extrémistes de la pire espèce!

Apprendre à connaître et à vivre avec les animaux et la nature, fait pleinement partie de l’apprentissage de la vie, celle qui nous entoure, et avec laquelle nous avons le bonheur et l’obligation de vivre. Connaître cette vie est incontournable, étant un apprentissage essentiel dès l’enfance, capable de faire comprendre combien nous sommes liés à elle, et combien nous en sommes aussi dépendant. Je ne parle pas d’une simple découverte, mais d’enseignements à temps plein, chaque semaine, de la primaire au lycée, encadrés par des professionnels de la nature et des animaux, des gens capables de partager leurs connaissances et leurs passions auprès de chacun de nos gamins. Tout doit y passer : les arbres, les champs, les fleurs et les lichens, le ciel, la terre, les mers et toutes ses vies, les insectes ainsi que nos amis domestiques, sans oublier bien sûr toute la faune sauvage.

Je veux faire grandir l’école.
Dans le mot connaissance il y a « NAISSANCE », l’éducation à nos natures, à la faune et à la flore étant une des bases de ces connaissances, créant en nous des éclosions nouvelles, des consciences fondamentales que nous avons l’obligation d’apporter à nos générations futures. C’est cet apport via une école nouvelle que je veux, une éducation indispensable à la vie, profitable à tous, précieuse pour l’avenir, rapprochant et associant, dans un apprentissage perpétuel, l’humanité à sa genèse.

Pour moi, la nature, les faunes et les flores, c’est comme le respect, ça s’apprend !
Je suis convaincu que l’éveil à ces leçons nouvelles sera à même de déclencher des actions nouvelles, où chacun de nos jeunes, tout au long de sa vie aura à cœur de faire passer l’existence de chacun, humain, faune, flore, environnement et toutes ses vies, aux premières lignes de nos constructions futures. Il en va de l’avenir de la planète, un futur que la jeunesse de notre nation sera à même de porter au-delà de nos frontières, montrant au monde qu’apprendre à connaître et à vivre avec les animaux et la nature, n’est qu’une histoire d’éducation et de volonté.

Gilles Ragnaud

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Ce n’est pas à la rue, ni à la morale de décider des libertés individuelles.
Pour moi, tant qu’il y a des parents avec le désir d’avoir des enfants, je n’y vois rien d’anormal.
Ce débat n’est pas et ne doit pas être celui de l’État, son rôle consistant exclusivement à savoir protéger les enfants quels que soient les parents et les familles.
What else ?
Gilles Ragnaud

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Je reste toujours dubitatif devant les débats sur les OGM, ou ceux concernant les pesticides ou autres produits chimiques déversés dans nos champs. On sait pertinemment qu’ils sont nuisibles pour nous, nous laissant des séquelles graves, cancers et maladies auto-immunes, on sait qu’ils nuisent à nos natures, polluant nos terres, nos eaux, nos plantes, on sait aussi qu’ils sont destructeurs pour les faunes, tuant par exemple à la limite de l’extinction nos populations d’abeilles sans lesquelles rien ne sera plus jamais possible… et bien malgré tout l’Europe Libérale et ses gouvernements, acceptent et signent pour l’utilisation de tels poisons !!!
Il faut dire que ces gens n’ont pas les mêmes types de neurones que les nôtres, ne voyant pas l’empoisonnement, s’en sentant certainement protégés derrière je ne sais quel bouclier idéaliste, ne voyant que l’intérêt économique, celui des lobbies, l’intoxication et les génocides faits dans nos faunes et nos flores ne les touchant même pas. Ces gens ne voient qu’à court terme.

C’est justement parce que je ne vois pas les choses à court terme, que je les imagine différemment, ma seule motivation étant la qualité de vie, celle de mes enfants, des gens qui m’entourent, et tout simplement celle des gens du monde, de leurs environnements et de toutes leurs vies.

En développant comme je le préconise dans mon programme, l’Assurance d’Existence, je rends l’État responsable de ce qui arrive dans l‘assiette des Français, non pas pour que l’État ait un contrôle sur l’alimentation, mais pour qu’il permette des choix différents en matière de culture, d’élevage, de transformation, et même de distribution.
Pour moi, l’agriculteur est et reste le premier médecin, étant à la base de nos alimentations, par ses productions de produits sains, cultivés dans les règles de l’art, celles que nous ont légués nos anciens. L’agriculture est à la base de la santé, c’est donc dès cette base que le travail de reconstruction de nos natures et donc de nos alimentations doit commencer. La permaculture, agroécologie, agriculture bio, et autres formes d’élevage et d’agronomies sont des exemples de ce que nous pouvons mettre en place, excluant définitivement les OGM et autres poisons chimiques, ne permettant de proposer que du bon et du bio.

Cette manière de définir l’agricole doit permettre une autre manière de vivre, apportant une communication nouvelle donnant un sens pédagogique, permettant à chacun de définir ses propres choix de vie et d’alimentation pour lui et les siens, car le deuxième médecin n’est pour moi autre que nous-même, dans nos choix personnels en matière d’alimentation, dans la culture du bien fait, le temps que nous devons prendre pour nous alimenter correctement.

Pour moi, il n’y a pas deux poids deux mesures, la vie, les vies passent avant tout, et tout le monde y gagnera, sauf bien sûr les empoisonneurs et leurs lobbies.

Gilles Ragnaud

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Ça pourrait paraître paradoxal de la part du président des MDE, parti politique Français, de lancer une telle proposition. Et pourtant, je reste persuadé que les partis et les personnalités politiques empêchent nos démocraties de se développer, donnant des pouvoirs là où il ne devrait y en avoir, permettant des ententes et autres alliances antidémocratiques voir anticonstitutionnelles. Ce qui est aussi paradoxal, c’est que pour arriver à mettre fin aux partis et personnalités politiques, il faut soit même se lancer en politique et bien sûr en devenir une personnalité. Mais quel autre choix avons-nous ? Le mien a été de créer une formation politique dans le respect des lois de la république et des outils démocratiques existant, ces outils étant les seuls pouvant réellement porter un projet politique à grande échelle, via les campagnes et rencontres citoyennes, via les militants et les sympathisants et surtout via le suffrage universel. Et ne me parlez pas de pseudo-révolution aux solutions et avenir aléatoire… restons sérieux ! Il va de soi qu’en temps et heure, je saurai mettre fin aux MDE, donnant ainsi l’exemple de la fin des partis et des personnalités qu’ils engendrent.

Pour moi une vraie démocratie ne doit donner aucun pouvoir politique à qui que ce soit, elle doit permettre à chacun via des « projets citoyens » une démocratie participative. Je veux que chaque communauté, chaque groupe de personnes voulant apporter quelque chose à nos sociétés soit en mesure de le faire en présentant leurs projets devant les citoyens. Pour cela nous devons changer radicalement l’accès à la vie de la cité, en rendant acteur tout citoyen et groupe de citoyens.

Cette approche ne donne pas de pouvoir politique, permettant juste, et c’est le principal, de faire avancer les choses, de les tirer vers le haut, d’être acteur de la cité, apportant à chacun la possibilité de défendre, d’améliorer, de faire évoluer sa condition, de créer de nouveaux débats dans le respect de la constitution. Ce système permet à tout individu, seul ou en groupe, d’être présent au sein des avancées de l’État. Ainsi j’imagine aisément des groupes de femmes, d’enfants, d’écoles, d’associations de handicapés, d’écologistes, de minorité présenter des projets, ou encore des groupes d’entreprises, de média, d’artisans ou de salariés, etc…

Il ne s’agit surtout pas là de soutenir une politique générale, mais juste de présenter et de développer « UN projet », pas deux, « juste UN », les personnes et groupes ayant terminé leurs missions devant laisser la place à d’autres, ayant eux aussi envie de construire, sans plus d’intérêt au pouvoir que cela. Ce système permet d’éloigner toutes ces personnes dont le seul but est d’avoir LE pouvoir, sans rien apporter en échange, il en sera donc fini de voir toujours les mêmes têtes se battre et se tirer dans les pattes pour l’accès au pouvoir, la vraie démocratie, celle que je souhaite, s’adressant à tous.

Cette évolution politique doit permettre aux citoyens de s’affranchir d’une république restrictive et élitiste, devant inspirer une vision nouvelle de la démocratie, une vision où le rôle de ceux qui auront pour mission de faire grandir nos sociétés est capital, tous ayant l’obligation de résultats, devant en répondre, étant jugés sur leurs capacités à savoir faire avancer nos sociétés vers l’équilibre.

Retrouvez les bases de ce système politique « voir Ordonnance » dans ma théorie de méthodes politiques sociales et économiques

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C’est ce que je propose aux travers de mon programme pour 2017, abolir les misères sociales et intellectuelles.
J’ai créé l’Assurance d’Existence pour mettre un terme définitif aux grandes misères de ce monde, en particulier celles de notre nation. Je garantis à chacun sans exception ce qui est essentiel pour vivre tout en laissant s’épanouir les libertés individuelles, le tout en réduisant très largement les dépenses de l’État, et donc celles de chacun d’entre nous. Par ce système je réduis largement les misères, tout le monde retrouvant obligatoirement chaque mois l’essentiel pour une vie dans la dignité, les libertés qu’engendrent une telle évolution permettant à tous de se construire selon ses propres volontés.
Au-delà de cette garantie, j’ai aussi la volonté de réformer totalement l’enseignement via des pédagogies différentes, où les apprentissages seront capables de prendre en compteles intelligences multiples, cette prise en compte permettant à nos jeunes de ne plus décrocher du monde scolaire développant ainsi leurs intellects selon leurs propres natures. Les génies, les savoirs innés, les passions trouveront en chacun leur place, cette forme d’apprentissage leurs permettant de se développer, les effets de cet enseignement prenant en compte les intelligences multiples étant un don fait au monde, de par les découvertes nouvelles qu’elle engendrera à coup sûr.
Ces deux évolutions que j’apporte vont permettre de contrer les discours haineux de l’extrême droite, abolir les misères sociales et intellectuelles permettant de lui couper l’herbe sous le pied, s’en prenant exactement là où il fait son beurre, l’indigence sous toutes ces formes.

Nos anciens appelaient ça « la cause à effet », tout partant d’une simple idée ou action, le reste se modifiant et évoluant de lui-même.
C’est avec cette même vision que l’on peut facilement s’imaginer qu’en donnant accès à tous à l’essentiel, notre civilisation en serait métamorphosée, un bouleversement tirant chacun vers le haut .

Un exemple : en permettant à une personne de vivre chaque jour dignement, on lui permet plus de sérénité, cette sérénité lui donnant un sentiment fondé de moins d’injustice, prévenir les injustices évitant les haines.
De même, si on permet à une personne d’user chaque jour de l’essentiel pour vivre, on lui permet plus de bien-être, ce bien-être lui apportant une paix intérieure, moins de stress et donc une meilleure santé.
Cela veut dire qu’en permettant à chacun d’accéder à l’essentiel, on apaise directement les haines, les violences, les injustices, on permet une meilleure santé, un meilleur moral, une vie plus saine. Une des conséquences non négligeable de cette théorie, est qu’au bout du compte la société fait nécessairement des économies, moins de police, moins de justice, moins de prison, moins de soins, moins d’hospitalisations, moins de dépenses en général pour garantir les uns face au mal-être des autres et vice et versa. Des dépenses en moins ce sont des impôts en moins, des impôts en moins c’est de l’argent en plus pour les familles, et de l’argent en plus pour les familles, c’est plus de consommation et donc des entreprises qui gagnent et qui embauchent… c’est ça la cause à effet.

Bien sûr il ne fallait pas s’attendre à une révolution, Valls est un libéral (de gauche), c’est-à-dire qu’il donne de la main gauche ce qu’il reprend de la main droite, en bref exactement le contraire de ce que font les libéraux (de droite) donnant eux de la main droite ce qu’ils prennent de la main gauche. Sans surprise la France de Valls n’est donc qu’une nation Européenne pro néo libérale, oú le social et l’écologie n’existent que s’ils ont un rapport économique fort, tirant toujours vers le bas ce qui est pourtant le plus important, c’est-à-dire les vies, en en réduisant le peu qu’il nous en reste encore de services publics et d’espoir. Son discours va dans la lignée des politiques néo libérales mondiales, dont les buts sont de délivrer les États de leurs engagements sociaux ; complémentaires, sécurité sociale, retraite, etc, en bref de détruire ce que nos anciens ont mis des années à construire, c’est-à-dire un avenir doté d’assurance d’existence publique.

Faire passer des vessies pour des lanternes.
Quand le premier ministre annonce des baisses de cotisations pour augmenter de 500 € net par an les petits salaires, c’est comme s’il retirait un sou du dessous de la pile pour le rajouter sur le dessus, ce n’est que du leurre, la pile restant au même niveau, car une baisse des cotisations sociales c’est moins de protection pour les smicards, ces derniers, s’ils veulent continuer à être bien couverts devant la payer eux-mêmes en prenant dans la pile de sous. 500 € par an, c’est 41.67 € en plus par mois pour un salarié, mais c’est surtout plus de 45 milliards mensuels pour l’État n’ayant plus à financer une partie des cotisations, refilant par la même occasion ce bébé bien gras aux secteur privé qui lui s’en frotte les mains.

Pitoyable EELV.
Ils se contentent de bien peu de choses ces écolos politicards de pacotilles, quelques promesses ridicules, loin des attentes que nous pourrions avoir pour l’environnement, pour l’agriculture, pour les énergies propres, pour les vies en général. Au nom du « faire partie de la majorité », EELV ne fait que prouver ce que beaucoup pensent déjà, que l’écologie n’a rien à faire en tant que parti politique, devant resté un lobby fort, pesant de tout son poids sur les politiques de droite et de gauche, du centre et même d’ailleurs, ouvrant les yeux du monde sur les meurtres incalculables que l’humain fait sur l’ environnement et toutes ses vies.

Et la misère continue à grandir…
Une fois de plus l’État s’en prend aux petites gens, aux salariés en général, s’en prenant aussi directement à la France, la dépouillant de ses acquis, l’endettant bientôt jusqu’à la banqueroute, la propulsant en droite ligne vers un modèle social à l’Américaine, à la différence que chez nous il n’y a pas de rêve à la clé, les petits restant petits sans le moindre espoir de grandir un jour. Cette situation vient de nos politiques qui depuis 40 ans sont à la botte de l’ultra et du néo libéralisme, les ascenseurs sociaux s’étant arrêtés entre deux étages, sous-sol et le rez-de-chaussée, plus aucun de nos services publics n’étant en mesure d’accompagner l’espoir, de faire grandir les envies, cela demandant de prendre des risques, risques que ni les banques ni les gouvernements ne sont en mesure d’assumer, cela demandant ce qu’ils n’ont pas, du courage.

Gilles Ragnaud