Pitoyable gauche radicale Grecque !

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Face aux créanciers de la troïka financière, le gouvernement Grec se met au pas !Ils le criaient pourtant haut et fort qu’ils feraient mieux que les gouvernements précédents, mais, force est de constater qu’il n’y a pas le moindre changement, ce qui n’a rien d’étonnant, n’ayant rien à apporter d’autre que de la poudre aux yeux, Psipras en vrai leader de la gauche radicale démontrant combien cette doctrine est vide de sens et d’esprit. C’est au moins à espérer que cette ridicule équipe d’un gauchisme primaire ait servi de leçon, ouvert les yeux aux quelques radicaux et autres extrêmes gauche dans le reste du monde, démontrant leur fadeur à se mouvoir dans les draps encore humides du sang de leurs ainés, ceux de l’ex URSS bien sûr, ceux encore de ce qu’il reste de la pitoyable révolution cubaine, et ceux bien sûr d’un communisme ultra libéral chinois, offrant ses deux joues et même son train arrière aux calottes et fessées économiques et financières du néo-libéralisme international.

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Nous insurger n’est pas une option, c’est une obligation.

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Ragnaud, Gilles, société équitable, Évolution, démocracitoyenne, assurance d'existence, athée la communauté

Quand une société comme la nôtre n’est plus en mesure d’assurer le quotidien à chacun d’entre nous, n’est plus en mesure d’offrir travail et salaire, n’a plus la capacité de garantir des ascenseurs sociaux, offrant l’espoir et la liberté de grandir à nos jeunesses, quand en plus elle donne tous les pouvoirs à un milieu financier outrepassant les règles pourtant simples du respect de la vie, ordonnant une élite particulièrement cupide et irresponsable, c’est qu’il est alors temps de s’insurger et de porter à nos têtes une évolution de courage et de respect.

Cette Évolution pour laquelle je travaille depuis des années avec l’appui indispensable des militants des Mouvements de l’Évolution, est une véritable révolution sociale, politique et économique, proposant une mutation inédite de nos sociétés. Ce qui nous motive est un devoir, celui de ne plus accepter une existence qui se veut dégradante pour nos générations futures, devant construire pour eux une société où le progrès devra être avant tout celui d’une évolution sociale et démocratique, où l’existence de chacun, je veux dire par là de chaque vie sur terre, doit passer avant toute autre chose, devant être les bases de nos choix politiques et économiques.

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Je ne suis en rien Islamophobe, mais il y a des choses politiquement non correctes qu’il va bien falloir un jour finir par mettre sur la table.

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Ragnaud, Gilles, société équitable, Évolution, démocracitoyenne, assurance d'existence,

Quand j’étais un gamin nous habitions dans un ensemble de HLM où se croisaient toutes sortes de gens dont des immigrés venant d’un peu partout, certains étant de confession musulmane. Il n’était pas rare d’aller manger les uns chez les autres, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai pour la première fois mangé mes premiers plats venant du Maghreb, des pays de l’Est ou même d’ailleurs. A cette époque les musulmans de France avaient une sagesse que l’on appréciait particulièrement, respectant les cultures françaises, autant dans l’accoutrement que par la discrétion tant qu’à leur croyance, ne s’étendant pas plus que ça sur le sujet, le peu qu’ils en disaient dégageant un amour profond pour leurs prochains. Jamais à cette époque les Musulmans ne seraient sortis de chez eux en habits traditionnels, se sentant personnellement blessés si l’un des leurs manquaient de respect aux autres communautés, le réprimant eux-mêmes, le remettant dans le droit chemin.

Nous avions tous de la considération les uns pour les autres , partageant nous aussi, familles Françaises, nos traditions et cultures, ce qui était la moindre des choses, voyant chaque communauté s’adonner avec joie à certains de nos rites locaux, tel que celui très Angevin du Pâté aux Prunes, gâteau particulièrement délicieux, l’étant encore plus lorsqu’il est partagé dans la joie et la bonne humeur. En fait nous ne faisions qu’un, une seule et unique communauté, celle des gens simples, nos cultures bien que différentes ayant en commun, avec ou sans religion, le respect, la bienveillance et la compassion de tous et envers tous.
Il y avait aussi l’entraide et le partage dont nous avions tous immanquablement besoin, les uns pour apprendre et comprendre les valeurs de la France, ses cultures et ses choix, les autres pour faciliter l’union, ou comme on dit aujourd’hui « l’intégration », autour d’une nation non pas multiculturelle, mais à une France d’accueil dans le respect de ses us et coutumes, dans un paysage multi centenaires de traditions nationales et régionales.

Quand j’étais ados dans les années 80, mes copains étaient originaires de tous les horizons, Antilles, Italie, Maroc, Tunisie, Cambodge, Birmanie et France bien sûr. Tout ceux issus de nations extérieures à l’Europe étaient des fils et filles d’immigrés, leurs parents comme les nôtres étant plus ou moins croyants, plus ou moins pratiquants, mais mise à part un foulard discret recouvrant les chevelures de certaines des mamans, jamais un seul d’entre eux n’aurait osé extérioriser ses opinions religieuses, chacun s’en tenant à d’éventuels signes discrets au sein de leur foyer. Ces parents-là nous avaient élevé dans la fierté, dans le respect de l’autre et de la France, chacun avec leurs manières, leurs méthodes, mais tous dans l’idée que leurs enfants n’étaient plus qu’un seul et unique peuple fait de couleurs et de traditions communes, nos cultures éducatives et scolaires nous rassemblant au-delà de toute intervention divine, ou non.

Plus tard la rue m’a permis de croiser nombre d’étrangers aux cultures différentes, en France ou sous d’autres cieux, des gens qui pour certains m’ont beaucoup appris, m’accueillant pour un repas ou une nuit voir plus. Pour la plupart ces gens avaient en commun l’indigence, se contentant de peu et sachant le partager, connaissant la saveur qu’ont les choses lorsqu’elles permettent l’échange d’un sourire. Là encore chacun savait se tenir à sa place, restant humble et discret sur ses convictions religieuses ou non, tous les SDF que nous étions, croyants ou non, partageant le même quotidien, dans le même froid, avec les mêmes maux, et pourtant la vie dans la rue n’était pas plus facile que celle d’aujourd’hui, je dirais même qu’elle l’était moins.

25 ans plus tard.
Aujourd’hui plus personne ne peut nier un mal être général concernant les relations que tiennent la religion musulmane et la société Française. Je traduirais ce mal être par le ressenti d’une « forme (les mots ne sont pas trop forts) de colonisation » de la France par une partie des fidèles à l’Islam, une forme de trahison de l’idée de la laïcité où tout semble permis au nom des libertés individuelles. Il n’y a plus de retenue, les accoutrements religieux, voire d’une extrême provocation s’affichant dans nos rues et dans nos médias, l’omniprésence de cette religion dans nos infos, nous imposant des débats et actualités nationales et internationales provocant une forme d’over dose générale. Certes on nous dit que ce n’est pas ça l’islam, que cette dernière n’est qu’amour et paix, et certes encore la majorité d’entre nous ne faisons pas d’amalgame, mais il n’en reste pas moins dans tous les cas, que cette doctrine reste omniprésente au sein de notre société, s’imposant malgré elle, ou non, à nos yeux, dans nos choix, et il faut le dire aussi dans nos libertés individuelles.
Cette over dose se traduit par un choc culturel, ne retrouvant pas aujourd’hui l’obligation que je pensais pourtant immuable de respect des cultures ancestrales d’une nation, ainsi que la discrétion nécessaire que chacun doit avoir en matière de spiritualité ou pas. J’admets qu’une personne investie d’un rôle religieux tel qu’un prêtre, un rabbin ou un imam puisse éventuellement s’habiller différemment, mais je suis offusqué, choqué que des gens m’imposent et imposent à mon pays une culture ne faisant pas partie de son patrimoine.
Là où dans ma jeunesse, il y avait retenue et respect, amitiés et échanges, les gens de ma génération peuvent en témoigner, il n’y a plus aujourd’hui de la part d’une partie des gens de cette communauté, qu’irrespect, insolence et provocation, ces gens se croyant en terres conquises, je parle bien sûr de terres culturelles, et tout le monde en souffre.

A qui la faute ?
L’État est à mon avis à la base de tout ce mal être n’ayant jamais su y faire face, ne sachant encore aujourd’hui répondre au problème, ne prenant pas dans ses choix le ressenti de la société Française, y restant sourd en ne sachant toujours pas faire respecter ce qui est à la base de ce choc culturel et de tout ce qui en est issu, je parle du respect de nos traditions culturelles, de nos us et coutumes ancestrales, des valeurs pourtant essentielles à l’équilibre de la nation, car partageables avec tous, générations après générations, quelle que soit l’origine de ces générations. L’État n’a pas su non plus défendre le sens aujourd’hui totalement biaisé de la laïcité, en ayant laissé plusieurs lectures possibles là où il n’y en a qu’une, celle de la république.

C’est un constat d’échecs cuisant de la politique Française en matière d’immigration et d’intégration, ainsi qu’en matière de cultures et d’éducation, échecs dont nous constatons amèrement depuis ces dix dernières années les retombées, les extrêmes de tous bords gagnant du terrain, les haines et les incompréhensions se heurtant jusqu’au point de non-retour.

Aujourd’hui je ne suis bien heureusement toujours pas Islamophobe, ça ne me viendrait même pas à l’idée, ne ressentant bien sûr aucun racisme envers qui que ce soit, mes amis et ma famille aux origines et cultures diverses, me rappelant combien ils ont une place indétrônable dans mon cœur.
Je défendrai toujours la paix et le partage, mes nombreux écrits autant sur l’immigrationque contre les haines raciales allant inexorablement vers l’ouverture à une démocratie partagée où chacun individuellement ou au sein d’une communauté, pourra se faire entendre dans le respect de tous.
J’espère simplement que cet état des lieux, car il ne s’agit que de cela, saura servir un débat que je pense incontournable pour que chacun puisse y retrouver sa place, son équilibre au sein de la nation, la France pour moi devant toujours rester une terre d’accueil de toutes les convictions, mais toujours dans le respect et le partage de ses us et coutumes et de ses cultures et traditions ancestrales.

Gilles Ragnaud

Comment la France a pu en arriver là !!!

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Comment la France a pu en arriver là !!!

Quand des gens ne ressentent plus le soutien de leur nation, n’arrivent plus y trouver leur place, vivant dans la misère entourée de misères, alors nécessairement, ils se rebellent, certains par de petites délinquances, puis de plus grandes au risque de faire de la prison, engendrant dans leur corps de la haine faite d’injustices et d’impuissances. Certains d’entre eux vont se tourner vers les religions, y trouvant de l’écoute, quelque chose d’organisé, ayant soudainement une place au sein d’une communauté, de l’importance pour les autres.

Dans les années 70, j’étais un de ces gamins des HLM, un peu désœuvré, vivant entre la rue et la maison familiale, élevé à grands coups de ceintures et de claques dans la gueule. Heureusement, il y avait l’école, certes je n’y étais pas une lumière, mais au moins nous étions entourés, nous avions de l’importance nous retrouvant pour certains au catéchisme, écoutant le curé nous narrer la parole de dieu. Je n’ai jamais adhéré à ces histoires à dormir debout, mais par contre j’étais un véritable buvard lorsqu’il s’agissait de comprendre ce qu’était la compassion, la bienveillance, la sagesse, comprenant aussi ce qu’est l’injustice et la violence, celle que je vivais au sein de ma famille, mais aussi et surtout celle que je voyais dans le monde, les famines, les guerres, les mensonges et les trahisons. Moi, j’ai fini dans la rue, dormant là où je pouvais, passant mes journées à trouver mon pain quotidien. D’autres de la bande de gamins que nous étions ont eux « mal tourné» se rebellant déjà par de petites délinquances, puis de plus grandes au risque de faire de la prison, engendrant dans leur corps de la haine faite d’injustices et d’impuissances.

Malgré cela, nous à cette époque avions de la chance, car depuis, pour les générations de gamins qui nous ont suivi, souvent des fils et filles d’émigrés, les choses sont devenues encore plus compliquées, l’avenir qui leur était proposé progressant à pleine vitesse vers des culs de sac, des avenirs qui n’existaient pas, les logements, les institutions, l’économie nationale, l’école même se délabrant année après année, le racisme, la peur de l’autre et l’incompréhension faisant boule de neige.

La suite nous la connaissons tous …

La leçon que je tire de cette histoire de France, est qu’un État qui sera capable de garantir un avenir à chacun, est un État dans lequel les religions n’auront plus leur place, ses citoyens sachant s’émanciper d’un quelconque dieu et des fanatismes qu’ils engendrent.

Gilles Ragnaud

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JE SUIS CHARLIE … Mais c’est quoi en fait être Charlie ?

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Ragnaud, Gilles, société équitable, Évolution, démocracitoyenne, assurance d'existence,

JE SUIS CHARLIE …
Mais c’est quoi en fait être Charlie ?

Après l’émotion, les crimes atroces de ces derniers jours, les Français se sont retrouvés à Paris s’unifiant dans un rassemblement nécessaire, chacun pouvant y crier ses peines, ses maux, ses colères et ses espoirs, le tout s’amalgamant dans une sorte de grand-messe républicaine du rejet du terrorisme, finissant comme après chaque acte de terreur, dans une communion, une fin de deuil nous permettant d’enterrer nos morts et de passer à autre chose. J’ai moi-même communié avec l’ensemble de ces manifestants, entamant avec eux le deuil qu’a porté la France, espérant pour ma part un sursaut de l’humanité, une lucidité soudaine, une conscience allant au-delà du refus de la haine et du terrorisme, vers des pensées plus libres et plus ouvertes à la cause humaine.

Mais ça n’a hélas pas été le cas, l’après deuil me laissant un goût amer, une fin d’inachevée, de ratés, me sentant comme oublié dans mes convictions profondes, l’après marche républicaine nous imposant des débats exclusivement religieux, où rabins et imams appellent leurs fidèles dans des prières pour la paix, tout en rentrant dans des débats théologiquo-politiques, tentant d’expliquer, d’excuser et de se délester du fardeau de leurs contradictions. Et ça m’agace, me sentant exclus du débat, car moi je n’ai pas de copain imaginaire, ne croyant pas en un dieu mythique, n’acceptant pas que l’on m’impose des rites et autres superstitions maladives, la laïcité que pourtant je défends ayant l’obligation de prendre aussi en compte ce qui me heurte, mes certitudes profondes étant au moins aussi importantes que celles des religions.

Alors c’est quoi être Charlie ?

Je n’ai pas la réponse, m’imaginant que nous sommes certainement tous des Charlies à notre manière, dans nos actes de tous les jours, par nos refus de la haine et de la bêtise, militant pour nos libertés de penser et de vivre. Par contre ce que j’aimerais qu’il reste de l’idée d’être Charlie, serait un respect de nos médias et de la république envers toutes les opinions, celle de ne pas croire en un dieu, de ne pas admettre l’omni présence des religions dans notre nation en faisant partie.

Gilles Ragnaud

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Bonne année 2015.

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Ragnaud, Gilles, société équitable, Évolution, démocracitoyenne, assurance d'existence,

En cette nouvelle année 2015, je tiens d’abord à remercier mes lectrices et lecteurs qui ont été pour l’année passée plus de 40 000 à me suivre via mon blog, étant à peu près autant à lire mes autres publications et interventions sur d’autres supports web. Cette assiduité montre combien l’idée que « tout sans exception soit construit autour de ce qui est essentiel à la vie » fait son chemin, des solutions et autres propositions allant dans ce sens commençant à voir le jour, les uns et les autres partageant cette conception de notre monde, en parlant autour d’eux, diffusant l’idée d’une civilisation capable de s’assumer.
Transmettre cette idée est aisé, car chacun d’entre nous est à même d’imaginer cet avenir, l’exercice étant simple, devant juste prendre un sujet, quel que soit ce sujet, et le développer pour qu’il soit construit dans le sens de ce qui est essentiel à la vie, cet essentiel devant prendre en compte nos besoins organiques, matériels et intellectuels, devant aussi nous permettre de trouver l’équilibre au sein de notre espèce ainsi que l’harmonie et le respect pour nos environnements naturels.
Des groupes de réflexion sont en train de voir le jour un peu partout, je vous invite donc à les rejoindre ou à en créer dans votre propre ville, les bénévoles de  » Société Équitable  » étant là pour vous y aider et coordonner l’ensemble de nos travaux.

Pour ma part, je suis dans l’obligation de prendre quelques mois de repos, me concentrant entièrement sur ma santé, une maladie que je traine depuis près de vingt ans ayant atteint un seuil critique. Je serai donc moins présent, laissant aux bénévoles des différentes structures que j’ai créé le soin de répondre à vos demandes.

Je vous souhaite à toutes et tous, une très bonne année 2015, espérant vous retrouver bientôt.

Gilles Ragnaud

DÉMOCRACITOYENNE, PUISQUE C’EST AU PEUPLE DE DÉCIDER DE TOUT !

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L’aviez-vous compris ?

Voter pour des gens, c’est élire, voter pour des projets, c’est proposer au référendum.

Avec le système que propose Société Équitable pour une démocratie participative, nous ne voterons plus pour élire des personnes, votant exclusivement pour ratifier ou non des projets citoyens, et ce tous les trois ans.

Voter pour des projets, c’est PERMETTRE UN RÉFÉRENDUM RÉGULIER sur tous les projets proposés par des citoyens comme vous et moi. DÉMOCRACITOYENNE est donc le premier système démocratique posant automatiquement la question à chacun d’entre nous sur la pertinence ou non d’un projet politique, social et économique.

C’est pas mieux comme ça ?

Gilles Ragnaud

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UNE CONSTITUTION CORRESPONDANT A NOS NATURES HUMAINES ET ENVIRONNEMENTALES

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Voici ce que pourraient donner des piliers constitutionnels correspondant à nos natures humaines et environnementales, à la vie, aux libertés individuelles et au bien commun.

Article premier : LE RESPECT DES NATURES HUMAINES ET ENVIRONNEMENTALES.
Tout sans exception doit être créé autour de ce qui est essentiel à la vie, bordant chacune de nos décisions individuelles ou communautaires, devant faire passer l’existence de chacun, humain, faune, flore, environnement et toutes ses vies, aux premières lignes de nos constructions futures, amenant tout acte allant à l’encontre de ce qui est essentiel à la vie à être repensé, voire abandonné et reconstruit.

Article deuxième : FÉDÉRATION DES PAYS DE FRANCE.
La Nation s’unit dans une Fédération indivisible de ses Pays de France, chacun ayant la liberté de leurs propres évolutions territoriales, économiques et culturelles, l’État Fédéral n’intervenant que dans le sens de garantir le respect de l’article premier, du respect de la démocratie et des libertés individuelles.

Article troisième : DÉMOCRATIE ÉQUITABLE.
La France s’engage dans une Démocratie Équitable, garantissant à chaque citoyen le droit de porter eux mêmes les projets des Pays de France, autant aux niveau communal que national, de s’exprimer par suffrage universel direct sur chacun de ces projets, pouvant à tout moment les faire évoluer dans le respect de la constitution.

Article quatrième : BIENS COMMUNS ET LIBERTÉS INDIVIDUELLES.
Les premiers biens communs de la nation, sont les libertés individuelles. Le commun et l’individuel allant ainsi de paire, toute forme d’évolution des libertés impacte directement l’individu et donc le bien commun, et vice versa.

Il va de soi que ces quatre articles ne sont que des propositions, dont le rôle est de démontrer qu’une articulation différente de nos sociétés est possible dans le respect de tous.
N’hésitez pas à commenter, et bien sûr à partager.

Gilles Ragnaud

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Ragnaud, Gilles, présidentielles, 2017, MDE, Évolution,

Il y a quelques jours, je publiais un article PORTEUR DE PROJET, POUR UNE DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE, vous invitant à imaginer un système de démocratie ouverte, à 100% de la population, ne donnant aucun pouvoir politique à qui que ce soit, rendant d’ailleurs obsolètes les partis ainsi que les personnalités politiques, le tout en faisant évoluer la nation bien mieux et bien plus vite que la méthode actuelle.

Tirée de l’Évolution, la théorie de méthodes politiques sociales et économiques sous le nom d’ordonnance, et développée par Société Équitable la branche projet des MDE, je vous invite aujourd’hui à en découvrir les grandes lignes. Cette présentation ne rentre bien évidement pas dans les détails plus particuliers d’une action de démocratie citoyenne, s’en tenant à présenter le projet général, cette démocratie citoyenne devant se construire d’elle-même, justement via et grâce aux projets citoyens que chacun d’entre nous pourra un jour avoir la possibilité de présenter.

Découvrir DÉMOCRACITOYENNE en ligne, c’est ici !

Gilles Ragnaud

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